MISTERS Bush and Cheney before the board of inquiry of September 11

The members of Parliament probably sought to know why George Bush had not undertaken a decisive action after having received a note of the services of information August 6, 2001 and entitled "Ben Laden determined to strike the United States". The American president, George W Bush was heard, Thursday April 29 during three hours at the White House, with his vice-president, Dick Cheney, by the board of inquiry independent into the attacks of September 11, 2001. Mr. Bush then declared that they had both answered all the questions which had been asked to them.

"It was significant" and "I am happy to have taken time" to answer it, underlined president Bush at the time of a short meeting with journalists in the gardens of the White House, refusing to give details on the questions as about his answers. "There was much interest on the manner of improving protection of America. (...) We discussed many things. I think that that helped to include/understand what I think and how I manage the White House, and how we treat the threat ", it put forward.

The two leaders did not lend oath for this maintenance which proceeded in camera, in the oval office, with the ten Members of the Commission (five republicans and five democrats), Alberto Gonzales, the legal adviser of the president, and two other lawyers of the White House.

With the journalists who wondered about the need for the president for testifying at the same time as his right arm, Mr. Bush rétorqué that it did not have anything to hide and that if such had been the case, they would not have even met the commission, which seeks to explain how the United States could let itself surprise by the attacks of 2001, the worst of the American history. Articles in the American press had suggested that the two men had chosen to be auditioned together, in order to be ensured of the agreement of their remarks.

The attacks had made nearly 3 000 died in the United States when terrorists of organization Al-Qaida had hijacked planes to crush them on the lathes of World Trade Center in New York and the Pentagon in Washington. A plane had been also crushed in a field in Pennsylvania. The commission heard more than 1 000 people in deprived or a public, and stripped more than two million documents.

With the origin, the White House had started a controversy while refusing that the commission can hear George W Bush without the presence of the Cheney vice-president and while insisting that hearing is the audio recording object neither nor of a written report. The White House justified this measurement by the need for protecting from confidential information.

Under the pressure of the close relations of the victims, and commission itself, MISTERS Bush and Cheney had finally agreed to answer the questions about their response with the attacks, but also with the warnings emanating from the services of information in the previous weeks.

Mr. Bush, who will ask in November the Americans to grant a second presidential mandate to him, based his election campaign mainly on his assessment safety fight antiterrorist, but this one was blamed in particular by a former person in charge for the White House, Richard Clarke, who was charged to follow this file within the national Council of safety.

The entourage of the president fears that the conclusions of the commission, which will publish his report on July 26, day of democratic convention in Boston, are not unfavourable to the republican president, to candidate for his own succession next November. According to a survey published Thursday by the New York Times and CBS News, the dimension of popularity of the president is gone down to 46 %, its level low since the beginning of its mandate, against 49 % one month ago, which reflects in particular the increasing doubts of the Americans on his policy in Iraq.

Judge for yourselves:

MM. Bush et Cheney devant la commission d'enquête du 11 septembre

Les parlementaires ont probablement cherché à savoir pourquoi George Bush n'avait pas entrepris d'action décisive après avoir reçu une note des services de renseignement daté du 6 août 2001 et intitulée "Ben Laden déterminé à frapper les Etats-Unis".

Le président américain, George W. Bush a été entendu, jeudi 29 avril durant trois heures à la Maison Blanche, avec son vice-président, Dick Cheney, par la commission d'enquête indépendante sur les attentats du 11 septembre 2001. M. Bush a ensuite déclaré qu'ils avaient tous deux répondu à toutes les questions qui leur avaient été posées.

"C'était important" et "je suis heureux d'avoir pris le temps" d'y répondre, a souligné le président Bush lors d'une brève rencontre avec des journalistes dans les jardins de la Maison Blanche, se refusant à donner des détails sur les questions comme sur ses réponses. "Il y a eu beaucoup d'intérêt sur la manière d'améliorer la protection de l'Amérique. (...) Nous avons discuté de beaucoup de choses. Je pense que cela les a aidés à comprendre ce que je pense et comment je gère la Maison Blanche, et comment nous traitons la menace", a-t-il fait valoir.

Les deux dirigeants n'ont pas prêté serment pour cet entretien qui s'est déroulé à huis clos, dans le bureau ovale, avec les dix membres de la commission (cinq républicains et cinq démocrates), Alberto Gonzales, le conseiller juridique du président, et deux autres avocats de la Maison Blanche.

1 000 PERSONNES ENTENDUES

Aux journalistes qui s'interrogeaient sur la nécessité pour le président de témoigner en même temps que son bras droit, M. Bush a rétorqué qu'il n'avait rien à cacher et que si tel avait été le cas, ils n'auraient même pas rencontré la commission, qui cherche à expliquer comment les Etats-Unis ont pu se laisser surprendre par les attentats de 2001, les pires de l'histoire américaine. Des articles dans la presse américaine avaient suggéré que les deux hommes avaient choisi d'être auditionné ensemble, afin de s'assurer de la concordance de leurs propos.

Les attentats avaient fait près de 3 000 morts aux Etats-Unis lorsque des terroristes de l'organisation Al-Qaida avaient détourné des avions pour les écraser sur les tours du World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington. Un avion s'était également écrasé dans un champ en Pennsylvanie. La commission a entendu plus de 1 000 personnes en privé ou en public, et dépouillé plus de deux millions de documents.

A l'origine, la Maison Blanche avait déclenché une controverse en refusant que la commission puisse entendre George W. Bush sans la présence du vice-président Cheney et en insistant pour que l'audition ne fasse l'objet ni d'un enregistrement audio ni d'un compte-rendu écrit. La Maison Blanche a justifié cette mesure par la nécessité de protéger des informations confidentielles.

COTE DE POPULARITÉ DE M. BUSH EN BAISSE

Sous la pression des proches des victimes, et de la commission elle-même, MM. Bush et Cheney avaient finalement accepté de répondre aux questions sur leur riposte aux attentats, mais aussi aux mises en garde émanant des services de renseignement dans les semaines précédentes.

Les parlementaires ont probablement cherché à savoir pourquoi George Bush n'avait pas entrepris d'action décisive après avoir reçu une note des services de renseignement daté du 6 août 2001 et intitulée "Ben Laden déterminé à frapper les Etats-Unis".

M. Bush, qui demandera en novembre aux Américains de lui accorder un second mandat présidentiel, a fondé sa campagne électorale en grande partie sur son bilan en matière de sécurité et de lutte antiterroriste, mais celui-ci a été mis en cause notamment par un ancien responsable de la Maison Blanche, Richard Clarke, qui était chargé de suivre ce dossier au sein du Conseil national de sécurité.

L'entourage du président redoute que les conclusions de la commission, qui publiera son rapport le 26 juillet, jour de la convention démocrate à Boston, ne soient défavorables au président républicain, candidat à sa propre succession en novembre prochain. Selon un sondage publié jeudi par le New York Times et CBS News, la cote de popularité du président est descendue à 46 %, son niveau le plus bas depuis le début de son mandat, contre 49 % il y a un mois, ce qui reflète notamment les doutes croissants des Américains sur sa politique en Irak.

Do you think a phrase like "MM. Bush et Cheney" is insulting, or the natural way to put express yourself in French?

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